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Kirene

Sonko/Adji Sarr : « Macky, l’homme le plus renseigné du pays, ne peut dire qu’il n’était pas au courant »

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Le délégué général adjoint du Front pour une révolution anti-impérialiste populaire et panafricaine est formel : « le président Macky Sall, l’homme le plus renseigné de ce pays, ne peut pas dire qu’il n’était pas au courant de l’affaire Adji Sarr/Ousmane Sonko, alors que des services étatiques ont été utilisés. Pour Alioune Badra Mboup, le chef de l’Etat doit démissionner pour manquement à sa charge de Président.

« Certains veulent nous faire croire que Mamour Diallo est à la tête de ce complot, c’est archi faux ! On ne doute pas du rôle clé qu’il a joué dans cette histoire, mais il est aidé par un appareil d’État dans sa tentative de règlement de compte », déclare Alioune Badara Mboup.

« Si Mamour Diallo connait l’agenda ourdi pour « la mise à mort politique de Ousmane Sonko », la date du procès (Dans 3 mois), alors que les auditions des témoins n’ont pas été bouclées par le juge d’instruction. Si Mamour Diallo a accès à Adji Sarr gardée par des agents de la BIP et dont jeune Afrique dit clairement que seul le ministre de l’intérieur Antoine Diome peut donner l’autorisation de s’en approcher en présence de sa garde rapprochée. Si Ndeye Khady Ndiaye signale la présence des agents secrets près du salon de massage les jours précédents le complot dont le fameux Baye Fall déguisé. Si le Capitaine Touré a demandé la démission du procureur de la République, des ministres de la justice et de l’intérieur qui ont tenté de faire pression sur lui. C’est juste qu’il existe un vaste réseau de bandits à col blanc, composé de plusieurs personnes qui ont usé de leurs influences et ont mis tout un système pour planifier secrètement le complot contre l’opposant le plus gênant », explique le délégué général adjoint du Frapp.

Pour Alioune Badara Mboup, actuellement Mamour Diallo devient « trop encombrant pour les comploteurs au sommet qui veulent s’en débarrasser pour sauver le Boss ». « On est en face d’une mafia au sommet de l’Etat où un patron a généralement un contrôle absolu ou presque absolu sur les autres membres de l’organisation, il est grandement craint par sa puissance de faire et de défaire tout membre qui peut permettre de remonter jusqu’à lui », ajoute-t-il.

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