« Si aujourd’hui, les ressortissants veulent faire justice eux-mêmes allant jusqu’à barricader, fermer et s’en prendre à des ressortissants mauritaniens au niveau de la frontière et de la zone frontalière, ça fait peur. Nous ne devons pas arriver à ce stade », a-t-il dit.
L’ONG Otra Africa exhorte les autorités mauritaniennes à mettre fin à ces pratiques et à respecter les droits des ressortissants étrangers.
« Saurait été les populations, on aurait cru que ça allait être grave parce que les populations, parfois, ne sont pas contrôlables. Mais il se trouve que ce sont des forces et de sécurité qui le font et c’est de là que nous interpellons le gouvernement mauritanien », a conclu Souleymane Diallo.